VISCERAL
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« L’Objet Singulier »
Création Alain GRUTTADAURIA -2015- Musique : Shifted – Durée 17 mn, pièce pour 5 danseuses.
« L’Objet singulier » est une « Expérience » chorégraphique. Recherche sur le mouvement non codifié et le mouvement Atypique
Dans un univers apocalyptique, des créatures mi humaines mi animales. Vivent, se percutent, tentent de se rapprocher, mais sont en état de « défi »
Projection de leur Image et de leur identité, elles sont en conflit et en méfiance sur le regard de « L’autre »
Objet singulier, est, en fait une « Agression » ou plutôt une « Provocation ». Regard, Danseurs très stylisés se détachent l’un après l’autre de l’ombre.L’énergie irradie, volonté de faire circuler le mouvement en boucle. Le jaillissement permanent du mouvement qui devient hypnotique.
Voir la musique et écouter la danse.
Les Interprètes deviennent la matière organique tour à tour tendre, sensuelle, violente, au cœur du plateau vide, comme un champ de bataille.
« Le pays des Fleurs Magiques »
Création Nadine GERSPACHER-2015- Musiques : Amacord Wien/ Musica Nuda/ 2 Cellos – Durée 11 mn, pièce pour 6 danseuses.
C’est un pot-pourri d’émotions où les danseurs se trouvent pris au piège par leurs propres limites. Force, énergie, rapidité et surréalisme font partis du voyage.
Un voyage intense et plein de surprises…
« Incalculable »
Cellule Chorégraphique Alice SORIN-2015- Musiques : Imam Baildi/Dande Bucci/Wadhom – Durée 12 mn, pièce pour 4 danseuses.
A essayer d’en dire trop, on dit rien, ou pas grand-chose.
70 orteils, 2700 articulations, 736 secondes, 10 tonnes d’inexplicable et 11 tonnes et demi d’incompréhensible ,14 narines, 35 litres de sang, 3 poignées d’inquiétude et d’hypocrisie, une voix, 1000 mètres cubes d’invisible, 15234 regards ,7 manubriums, 1302 inspirations, 154 vertèbres, 4500 vibrations, 14 hectares d’imperceptible.
Du calcul à l’instinctif, du mouvement à la sensation, du mécanisme à l’humain, du souffle à la résonnance, de la parole au silence.
« L’Automne de mes jours »
Création Bruno COLLINET-2015- Musiques : Hauschka/ Olafur Arnald/ Giovanni Sollima – Durée 14 mn, pièce pour 9 danseuses.
Le souvenir, la mémoire…… Mon corps a une mémoire : il garde en lui les souvenirs enfouis de mes souffrances d’enfants, de foetus, et même parfois de celles de mes parents. Imprimées dans les muscles, les os et jusque dans la chair, ces douleurs résonnent dans mon corps et se réveillent au fil des événements de ma vie. Les échecs et les chagrins qui se répètent, les douceurs et les plaisirs qui m’empêchent d’avancer – Ne plus subir mon histoire, faire face à ma mémoire, accéder enfin à ma propre vie.
« From Song to Swing »
Création Patricia KARAGOZIAN-2014- Musiques : Gregory Porter/ Bobby Mc Ferrin – Durée 11 mn, pièce pour 10 danseurs.
Le Jazz: phrasé et rythmicité, « song et swing ». Par cette pièce dansée en trois parties, les danseurs de Force Jazz proposent un moment de danse à la fois profond et léger, avec un clin d’œil à un grand maître de la danse Jazz, Matt Mattox.
Imprégnés par la voix de Gregory Porter, les danseurs convoquent la sensibilité de l’âme : introspection, espoir, fuite, acceptation,
Après cette exploration d’un phrasé mélodique, rentre la pulsation fédératrice, qui offre un socle pour le rythme en invitant l’énergie du swing.
Propulsés par une interprétation de « Joshua » de Bobby Mc Ferrin, les danseurs communiquent la jubilation du swing, chacun est un individu à part entière dans une expérience collective…le JAZZ.
« Entières »
Cellule Chorégraphie Alice SORIN-2015- Musiques : Archives – Durée 7 mn, pièce pour 4 danseuses.
Médaille de Bronze au Concours National de Jeunes Chorégraphes à Millau, Avril 2016
Médaille d’Argent aux Rencontres Chorégraphiques Nationales de la FFD à Montluçon, Juillet 2016
Laissez-nous être sensibles, paralysées, folles, à côté de la plaque, pudiques, pleureuses, trouillardes, dépendantes, passionnées, désarticulées, perdues, terrorisées, instables, fortes, en colère, fatiguées, embrouillées, manipulées. Ne jugez pas s’il vous plait, le jugement ça fait peur.
« La Nuit au-dessus des joncs »
Création Bruno COLLINET-2016- Musiques : Guesh Patti – Durée 14 mn, pièce pour 7 danseuses.
A pour sujet le passage, le transfert, l’évolution du sentiment.
La nostalgie est un sentiment; personnel, trop personnel. Il nous enferme nous isole.
Un sentiment de regret, regrets des temps passés, de lieux disparus ou devenus lointains.
Doit-on conclure que la nécessité d’aller à la rencontre de l’autre est essentielle?
L’inconnu, la personne inconnue, celle qui me fera m’oublier.